181. Toutes Ces Ruelles Où L’On Marche Invisible
Toutes ces rues où il marche invisible. Où son fléau balaie les trottoirs et ceux qui s’y dressent. Son propre rythme cardiaque fait d’autrui au mieux un bas relief, au pire un objet reculant. Invisible est faux : ses enfants éclosent sur les membres, derrière les nuques, le long des visages, autour des yeux et des sphincters. Colonisent les viscères. Répandent leurs spores, défis jetés, dés, Wier expose ses entrailles crucifié emplissant le carrefour unique de la cité de son engeance.
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