Liz prie la nuée. Disperse les particules au bord des fleuves souterrains.
À ses pieds, l’eau s’enveloppe de furie, griffes contre les ongles, et l’acier terminal des jetées, vidé de tout sauf la douleur. Après le baiser, entortillé autour du cimeterre. Danse des enfants et des animaux morts-nés, enterrés dans la terre qui les repousse, derrière les buissons qui flambent, nés dans la violence des prières et des meurtres de soi.
Liz invoque des ombres chinoises contre ses doigts.
Et plonge dans les fleuves de najas furieux.