482. Sous La Verrière Des Jumeaux Du Diable : Sous L’Angle De La Maison-Sorcière XII
Aller aux verrières où guettent les jumeaux du diable. Hexagone allongé, double étoile sans pointe, huit rangées de carreaux colorés, portes dérobées vers le puits vertical, on dévisse vers le ciel, accélère jusqu’au flash, aux constellations irisées, négocier la courbe, la vie aux anneaux, sous les combles, par-dessus les caves et les souterrains de l’accouplement, ici où les fauves reposent, la question en forme de clé, translucide comme une goutte de rosée, suspendue aux lustres de la sueur.
Quelque chose de la lampe tempête.
Son bûcher des charmes. Voyage vicieux vers ses spirales de viande. Vol incendie dans un ciel de cartilage. Cantilène des morts lentes.
Ici on porte un masque d’oiseau. On parle un langage de pus. On monnaie les cadavres.
Au bon endroit, on entend la voix des ténèbres elle-même.
Des mèches de cheveux sous verre.
Meubles encastrés dans les membres.
Une cage reliée au cœur. Le chant d’acier des illusionnistes.
Le couloir s’en va vers les chambres où rien ne dort. Les balcons de ciment. Les couchers de soleil incessants. Vue sur l’escalier de bois tordu. Les Chiottes De La Branlette Compulsive. Départ stellaire pour les abrutissements. Au miroir, dit-il.
Au miroir les avancées de la contrefaçon.
Sous la verrière, plongé dans la lumière noire des nouvelles lunes, sa forme humanisée dans la refondation des alliances, lance plantée au fleuve de najas en furie, toutes ces visions lui traversent l’esprit sous la verrière, quand un souffle passe de la pierre au vitrail.
Fait trembler les voiles de veine.
Jette des ponts et abat des aqueducs.
Tous ces amas de muscles au service d’une ligne de code.
Avant la grande faillite des corps : une maison aux angles suraigus. Et à la fenêtre de cette pièce qui n’existe pas.
Un œil géant guette la peau sensible du visiteur.
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