436. Vision De Wier En Monarque Trompeur Des Vampires
Wier, ses membres s’espacent, ses tics de langage dévorent son cuir chevelu, il se diffracte dans la pénombre. La fréquence de son corps se divise à l’endroit de l’âme, une glande inconnue lui pousse dans l’arrière-cerveau, son crâne s’ouvre comme un toit de télescope, et l’âme cancéreuse de Wier scrute le noir et la nuit et la chance constellée de hasard.
Wier tend les bras vers les murs boyaux. Ses doigts disparaissent, se font chevrons et poutrelles. Ses jambes s’évanouissent, fondations et piliers centraux, murs porteurs, canaux d’évacuation. La monarchie trompeuse des vampires.
L’incantation des mentats. La mélopée-viande. Wier devient maison hantée sous la poussée du cauchemar.
Et en goûte chaque instant d’éternité.
This entry was posted on juin 18, 2012 at 9:48 and is filed under metamorphose with tags wier. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.
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