Il bute sur des portes ouvertes.
Ses mains sont éprises du coussin des murs.
Corps qui songe ; machine qui s’emballe.
La vue des lumières artificielles allume des cylindres mobiles derrière ses yeux. Projette les illusions de la sanité dans l’ourlet de ses paupières. Qui ploient sous le regard seringueux des hommes de science. Et s’effondrent en précipité dans un creuset d’alchimiste.
Lodger c’est cela : l’ignorance désormais de la normalité.