260. Parthénogénèse De La Ténèbre

Il y a des morts dans les cages d’escalier, des corps qui encombrent, des robes vides qui néanmoins se déplacent, des bouquets d’ortie qui caressent la chair en des mouvements semi-circulaires, des pièces négligées qui sentent la sueur, des portes dérobées qui s’escamotent à l’approche du vivant, murmurent les corridors, l’ombre sur la ville provient de la capitainerie, mais c’est le monastère qui l’engendre en sa parthénogénèse de ténèbre.

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :