245. Les Chants Des Engoulevents
Nile et ses Dynasties parthénogénétiques, l’appareil digestif du Parti, cyanure imbibé, la cartographie de ses déviances dessinait des continents du meurtre. Se développaient comme un papier buvant l’eau rougie, un Rorschach s’extirpant de sa chrysalide de chiffon, l’âme du défunt revenue d’entre les morts pour être bouffée par le premier engoulevent venu, l’enviol des oiseaux affamés sur les toits à pignons, attendent leur heure car elle vient toujours.
Nile et ses Dynasties protoplasmiques, partent du monocellulaire pour atteindre à la perfection minérale, la pureté du sang, les mariages à l’intérieur du giron, de la meute, la descendance qui, effectivement, descend. Chute dans les escaliers. Et perd tout son fluide dans les cataractes des cathédrales consanguines.
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