La surface, lisse. Couleurs, strates, sans transition, odeur d’ozone, d’amande amère, de lithium, effluves de romarin et de bois de rose, volutes sculptées dans le pétrole brut et l’huile chimique, liant du vivant, Chrome se bouche les narines, trop tard, il s’écroule. Ses yeux, sa bouche clos par leurs propres sécrétions. Cerveau en attente, resserre ses perceptions, se concentre sur l’olfactif et fait avancer la machine. Chrome, évanoui, se relève, gauche, avance, le long du cairn – comme dans un rêve – à la recherche d’une ouverture.