168. L’Arbre Sans Bourgeons Porteur De La Peste
Après avoir baigné ses plaies dans l’eau lourde, Nile s’arrête, halète, courbe, il ne reconnaît pas ce Plan comme sien. Hume l’air incandescent du soir, le premier soir du jour, un autre suivra la nuit, et un tiers-soir brisera la matinée en plein vol. Le stroboscope des triples lunes en creux.
Nile n’est plus Rossetti, juste Nile, le virus des grippes inattentives, l’arbre sans bourgeons porteur de peste, le poids de la vermine, poids qui résonne aux pincements d’un clavecin, quelque part, derrière la rondeur du mont oculaire. Derrière la porte verte de l’horizon.
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